Les nouvelles directives gouvernementales en matière de pratiques sportives (ci dessous)
ainsi que leur mise en application par les services municipaux
contraignent certaines associations chapelaines pratiquant habituellement leurs activités dans des équipements couverts à suspendre les entraînements extérieurs qu'elles avaient mis en place.
En effet, contrairement aux ERP de type Plein-Air (stades de Football, de Rugby et piste d'athlétisme) où le nombre de pratiquants n'est pas limité permettant aux clubs utilisateurs de poursuivre une activité presque normale, les espaces jouxtant les équipements sportifs couverts (Mazaire, Coutancière, Bernard Corneau) qu'utilisent les associations en lieu et place de leurs équipements habituels pour leur entraînements extérieurs sont considérés comme des espaces publics et ne peuvent accueillir plus de 6 personnes en même temps entraineurs inclus, .
Cette jauge imposé ne permet pas à certains sports de poursuivre cette activité de remplacement.
Outre l'inégalité de traitement, cette situation suscite quelques interrogations :
- Pourquoi ne pas décider que certains espaces "Publics" qui jouxtent les équipements sportifs couverts (pelouses dernière Mazaire et La Coutancière par exemple) soient déclarés "temporairement" comme des ERP de type Plein Air et permettent aux associations de s'affranchir de cette limite de 6 participants (entraîneur compris).
- Qu'on nous explique la différence entre la pelouse du terrain de Rugby de Beausoleil ouverte à tout vent donc implicitement publique et la pelouse derrière le gymnase de Mazaire elle aussi ouverte et très peu utilisée par le public. Même environnement, mêmes risques.
- Il suffit eventuellement de mettre 2 ou 3 barrières à chaque bout et le tour est joué. Nous ne pensons pas que les électeurs chapelains prennent ombrage de l'amputation momentanée d'une parcelle de leur espace public.
C'est vrai, ce n'est pas du Foot !
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